Joyau préféré des maharadjahs, des chahs, sultans et califes, le rubis orne les couronnes et bijoux des souverains et princes d’Occident. Au début du XVIIIème siècle, Le Chevalier Chardin rédige ainsi des souvenirs semblant sortis des Contes des Mille et une Nuits :
Les Persans appellent cette pierre le flambeau de la nuit à cause de la propriété qu’on lui attribue d’éclairer tout à l’entour. Ils l’appellent aussi Cha mohoré, pierre royale et Cha jevanan, roi des joyaux, ils rapportent que l’escarboucle est produite dans la tête d’un dragon, d’un griffon ou d’un aigle royal…
L’escarboucle, rubis des temps anciens, désigne aussi d’autres pierres rouges. La couleur flamboyante est le critère prépondérant car associé au sang, au vin et au feu, le rouge représente la puissance, la force et le courage.
Le rubis tient le premier rang jusqu’à la maîtrise parfaite de la taille à facettes du diamant qui a lieu véritablement à la fin du XVIIème siècle. Ainsi que l’écrivait J. de Mandeville au XIVème siècle : “le rubiz est le sire de toutes les pierres précieuses”.
Découvrez dans cet article les caractéristiques minéralogiques du rubis, sa place à travers l’Histoire, les légendes qui l’entourent, et ses vertus et propriétés en lithothérapie, l’art ancestral du soin par les pierres et cristaux.
Caractéristiques minéralogiques
Variété de corindon du groupe des oxydes, le rubis composé d’oxyde d’aluminium et d’oxygène présente un aspect transparent à translucide et un faciès pyramidal. Insoluble dans les acides, il est le minéral le plus dur après le diamant (avec le saphir, autre corindon).
Il se forme dans les roches magmatiques ou dans les roches métamorphiques comme le micaschiste ou les gneiss. En Asie, les rubis sont apparus voici 60 millions d’années lors de l’élévation de l’Himalaya.
Le rubis se présente généralement en petits cristaux car le chrome entrave sa croissance ; un gros rubis rouge foncé est donc une rareté. Parmi les pierres précieuses, le diamant passe en premier mais on considère qu’un beau rubis est plus rare qu’un beau diamant.
Bijoux et objets en rubis
Couleurs
Les corindons colorés se désignent généralement sous le nom de saphir. Il existe ainsi, outre le saphir bleu, des saphirs jaunes, violets, verts ou roses. Seule la variété rouge possède un nom qui lui est propre : le rubis.
Sa couleur provient d’infimes traces de chrome (en moyenne 1/1000) qui remplacent l’aluminium dans sa structure. Le taux de chrome définit l’intensité du rouge. Les rubis aux tonalités brunes présentent en plus des traces de fer.
Le rouge se décline dans toutes les nuances. Des rubis issus d’un même gisement ne présentent pas systématiquement la même intensité et ne détermine donc pas la provenance. Les rubis clairs sont moins estimés. Autrefois, les Birmans écartaient les pierres pâles ou rosées car ils ne les trouvaient pas assez “mûres”.
Le rubis le plus recherché présente un rouge franc, soutenu, avec une légère pointe de bleu pour assombrir. Cette couleur parfaite s’appelle “sang de pigeon“. D’autres sont rouge cochenille, rouge ponceau, giroflée, incarnat ou vermeil…
Diverses inclusions se rencontrent souvent. Garantes d’authenticité, elles ne sont pas toujours appréciées. Des traitements thermiques peuvent les atténuer ou les supprimer.
Il arrive que les rubis présentent un effet d’astérisme révélé par une taille en cabochon. Des inclusions de rutile forment une parfaite étoile à six branches. On connaît, par exemple, le rubis Édith Hagen de Long. Il dépasse les 100 carats, vient de Birmanie où il a été extrait en 1930. Offert à l’American Museum Natural History de New-York, il fut volé en 1964 et restitué après versement d’une rançon. Le Smithsonian Institut de Washington abrite le célèbre rubis étoilé Reeves de 138 carats venant du Sri-Lanka.
Confusions possibles avec d’autres minéraux
Le rubis peut être confondu avec les pierres suivantes :
- Spinelle rouge faussement appelée “rubis balais”
- Tourmaline (rubellite) faussement appelée “rubis de Sibérie”
- Grenat pyrope ou almandin
- Hyacinthe
- Fluorite
- Topaze rose orangée parfois appelé rubicelle
Extraction
Les rubis peuvent être extraits de mines souterraines à l’aide d’explosifs mais l’exploitation des alluvions fournit la production la plus importante. Les roches entourant les rubis se désagrègent, les rubis détachés se déposent alors dans les vallées creusées par les cours d’eau.
Dans les grandes exploitations, la terre extraite des puits est lavée mécaniquement avec des jets à haute pression. Le lavage des graviers dans les cours d’eau à l’aide de bâtées, méthode ancestrale et manuelle, se pratique toujours. Avec beaucoup de chance, on peut ramasser des rubis sur les chemins mais ce rêve se réalise rarement !
Provenances
La Birmanie (en particulier l’exploitation séculaire de la région du Mogok) représente près de 90 % de la production mondiale. Les conditions d’exploitation sont très dures et le commerce souvent opaque. Deux fois par an, l’essentielle de la production est vendue aux enchères dans des manifestations gigantesques à Rangoun. Mais le trouve aussi à d’autres endroits en Asie :
- Sri-Lanka (beaux rubis très rouges de Ratnapura)
- Afghanistan
- Cambodge
- Inde
- Népal
- Pakistan
- Thaïlande (Région de Chanthaburi, puits très profonds)
- Vietnam (coloration zonée)
En Afrique :
- Kenya
- Madagascar
- Malawi
- Mozambique
- Tanzanie (association étonnante : zoïsite verte avec inclusions de rubis)`
- Zimbabwe
En Amérique :
- Brésil
- Etats-Unis (Caroline du Nord, Montana)
En Océanie :
- Australie
Étymologie et signification du mot “Rubis”
Rubis vient du latin rubeus qui signifie “rouge”. En latin médiéval, il donnera le terme rubinus que l’on retrouve dans des mots tels que rubéole, rubrique… En vieux français, le rouge-gorge est ainsi un rubeline et le rouge-queue un rubienne. On retrouve le rouge-gorge anglais en robin.
La famille végétale des rubiacés doit quant à elle ce nom à la rubia tinctorum déjà décrite sous l’antiquité romaine. Cette plante est la garance dont les racines et rhizomes ont fourni longtemps le rouge de nos tissus.
Rubis (d’abord écrit rubiz) n’est que la forme plurielle moyenâgeuse de rubi ou rubie. Elle prévaudra à partir du XVIème siècle.
Les rubicelles désignaient enfin des petits rubis clairs (mot encore employé pour certains minéraux roses ou orangés). Dans les inventaires du Moyen-Âge, on trouve de fréquents “rubiet” ou “rubinet”, autres petits rubis.
Le Rubis à travers l’Histoire
Dans l’Antiquité
Les Romains appellent le rubis et les autres pierres rouges brillantes Carbunculorum, signifiant “petit charbon ardent” ou “petit charbon allumé”. “Il jette des traits de feu et réfléchit les rayons du soleil et de la lune” écrit Pline l’Ancien. D’après cet auteur, il y en aurait quatre espèces principales :
- L’indienne (indicus), d’un reflet languissant
- La garamantique, venant de Carthage, plus petits et plus sombres (probablement des grenats)
- L’éthiopique
- L’alabandique, trouvée près d’Orthosie et taillée à Alabanda (antiques villes turques)
Sans doute, par analogie au plumage des oiseaux, toutes ces pierres antiques sont déclinées en mâles d’un vif éclat et en femelles, plus ternes.
Des traitements existent pour donner un coup d’éclat aux pierres qui en manquent. On peut les laisser macérer 14 jours dans du vinaigre pour obtenir un brillant qui durera 14 mois. Et le plus beau de ces rubis est donc le “carbunculorum indicus mâle”. Il est très certainement le corindon rouge que nous connaissons. Les autres espèces sont des spinelles ou des grenats.
Il existe peu de sceaux antiques gravés dans de véritables rubis. Leur prix, leur dureté et le polissage délicat des cavités n’encouragent pas cet usage. Le résultat s’avère décevant car la gravure, mal adoucie, accroche la cire. Les spinons (spinelles) conviennent davantage et sont moins coûteux.
Dans l’Antiquité, un rubis véritable est d’un grand prix. Théophraste (IIIème av J.C) nous apprend qu’il en a acheté “un très petit […] pour quarante pièces d’or“. Il s’agit peut-être d’un rubis de Milet décrit dans son traité de minéralogie : “Incombustible, d’une figure angulaire et hexagonale“. Cette pierre semble correspondre à un corindon. Milet, cité grecque prospère, est alors un important port de commerce et toutes les pierres précieuses y transitent avec d’autres richesses venues d’Orient…
Au Moyen-Age
Le Carbunculorum romain se transforme en “carboncle” ou “charboncle” puis, pour les plus grosses pierres d’un rouge flamboyant, en “escarboucles”. Des chroniques médiévales parlant de Charlemagne en colère nous disent : “ses yeulx resplendissoient comme escharbourcle“. Mais, comme on l’a vu, l’escarboucle ne désigne pas toujours un véritable rubis. Il peut s’agir d’une spinelle rouge ou d’un rubiz dénommé balais ou d’autres encore.
Le rubis, pierre la plus précieuse du Moyen-Âge, possède des vertus à nulle autre pareilles. D’après Jean de Mandeville :
Il l’emporte en beauté sur toutes les pierres rouges, il procure paix et concorde, apaise la colère, garde la personne qui le porte de tous périls et lui assure de beaux songes. Il préserve aussi les fruits des arbres, les vignes et la terre, des foudres et des tempêtes. Les plus précieux sont d’Orient…
Hélas, les escarboucles ont aussi des pouvoirs maléfiques. Pour annoncer un malheur, cette pierre change de couleur. Sa lumière serait d’une nature si extraordinaire que rien ne l’arrête, pas même les vêtements. Le reproche le plus grave est le fait d’éclairer les dragons et les chimères. Ces animaux fantastiques porteraient un rubis au milieu du front ou le tiendraient entre leurs dents. Ainsi font les vieux dragons aux yeux fatigués pour se diriger la nuit dans les campagnes et trouver, sans encombres, les ruisseaux et les fontaines.
Le Rubis, gemme des rois
Ces prodigieuses exagérations ne rebutent pas les souverains des royaumes d’Occident. Des écrits du XIIIème siècle nous informent que Saint-Louis possédait une bague “où est un gros ruby à la façon d’une demi-fève“.
Au XIVème siècle, Charles V, le roi sage, possède un rubis oriental gravé, très ancien, représentant un roi sans barbe. Il s’en sert pour cacheter les lettres écrites de sa propre main. On l’appelle le “signet du Roi Charles V”. Sa belle-fille, Isabeau de Bavière, reine de France la plus “honnie”, se prépare des mixtures de rubis et de perles broyés pour garder sa minceur.
Le Duc de Berry, au début du XVème siècle détient, parmi ses trésors, un rubis assis sur un anneau d’or appelé Cœur de France et un autre appelé Bonhomme ; tous les deux offerts par son fortuné et généreux frère, le Duc de Bourgogne. Un peu plus tard, Charles le Téméraire de la même riche Maison de Bourgogne porte sur son chapeau un chapelet de rubis d’une valeur inestimable.
Les Joyaux de la Couronne
La couronne royale des capétiens abritait une épine sacrée de la couronne de Jésus-Christ placée sous une escarboucle de 278 carats. Cette gemme venait de la dot de la Reine des Francs, Anne de Kiev, au XIème siècle. Une émeraude de cette couronne est parvenue jusqu’à nous mais pas le rubis. On s’interroge encore sur sa véritable nature : corindon, spinelle, grenat ?
La question est résolue pour le célèbre « rubis du Prince Noir », bijou de la Couronne d’Angleterre depuis 1367. Cette gemme enchâssée dans une croix de Malte sur la face avant de la couronne impériale est une magnifique spinelle. On peut l’admirer à la Tour de Londres. Même déception pour le rubis d’Anne de Bretagne nommé « Côtes de Bretagne ». Taillé ensuite en forme de dragon, il se révélera être une spinelle, actuellement visible au Louvre.
La couronne Saint-Venceslas a été crée en 1347 pour le sacre du roi de Bohème Charles IV, empereur romano-germanique. Élevé en France, il souhaite le même faste pour son couronnement. Des saphirs, des émeraudes et des perles sertis dans de l’or hautement titré cernent un éblouissant rubis oriental de 250 carats. Aujourd’hui, la couronne se cache dans une salle de la Cathédrale Saint-Guy de Prague. Pour accéder au trésor, les sept clés confiées à sept hauts responsables de l’État et de l’Église doivent être réunies. Il est plus simple d’en admirer une copie au Château de Prague.
Le Rubis et les rois d’Orient
En Orient, le rubis devient un important symbole de la religion islamique. Dans le Coran, il est étroitement lié à la création de l’homme :
Dieu envoya une maison de rubis à Adam. Elle prit place à l’endroit appelée la Kaaba au sein de la Mosquée Sacrée de la Mecque. Une pierre blanche et brillante y fut déposée de sorte que cette maison éclatante puisse être visible de partout. Adam la visita et constata que tous les lieux où il posait le pied devenaient florissants et se couvraient d’eaux courantes et de verdure.
Les souverains orientaux sont couverts de rubis, symboles de pouvoir. Ils ornent les aigrettes des turbans des maharajas, le haut des bonnets des mandarins chinois, les attaches des somptueux vêtements, les bijoux, les trônes et même les harnais des chevaux.
Sendemain, le roi de Ceylan, détient le plus beau et le plus gros des rubis. Marco-Polo raconte que ce rubis est long comme une paume et gros comme le bras d’un homme. Il est la chose la plus resplendissante du monde, vermeil comme du feu et sans aucunes taches. Le grand Kaan tente de l’acheter à n’importe quel prix mais le roi refuse, son rubis n’est pas à vendre car il vient de ses ancêtres. Le roi de Siam posséderait quant à lui une escarboucle qui éclaire toute la chambre où il se trouve.
A peu près à la même époque, au XIIIème siècle à Bagdad, le calife Mostanser Billan de la dynastie des Abbâssides est contraint de céder ses trésors aux turcs victorieux. Les vainqueurs s’en emparent avec avidité. Entre autres merveilles, on peut voir un paon d’or au plumage enrichi de pierres précieuses et aux yeux de rubis, un coq à la crête et au regard de rubis, un œuf de rubis de la plus belle eau…
A partir du 16ème siècle
Le diamant va doucement détrôner le rubis de la première place. L’orfèvre et sculpteur florentin Benvenuto Cellini rapporte encore qu’un rubis parfait a été vendu 800 écus d’or alors qu’un diamant de même taille se vend 100 écus.
Les pouvoirs fantastiques attribués au rubis s’éloignent. Certes, le rubis restera une des pierre les plus précieuses mais, débarrassé de sa magie, il perdra de son charme fascinant. Anselme de Boodt, lapidaire et médecin du XVIème siècle explique que “la nature ne peut pas former des pierres qui brillent dans l’obscurité comme elle l’a donné au bois pourri, aux vers luisants, aux écailles de harengs et aux yeux de certains animaux”.
Plus tard, Jean-Baptiste Panthot rédige le Traité des Dragons et des Escarboucles. Il ne croit pas aux histoires de dragons s’éclairant avec des rubis : “Si les dragons avaient tant besoin de voir dans la nuit, la nature qui est sage y aurait pourvu comme elle l’a fait pour les chats ou les hiboux…”
A partir du XVIIème siècle, Jean-Baptiste Tavernier puis le Chevalier Chardin, voyageurs de commerce en Orient, décrivent des rubis admirables. A la cour du Royaume de Perse, Chardin contemple un rubis grand comme la moitié d’un œuf, de la plus belle et de la plus haute couleur. Taillé en cabochon, la pointe est gravée du nom d’un ancêtre de Soliman le Magnifique : Cheic Sephy.
Les scientifiques, comme Buffon, classe le rubis en pierre de premier rang. Pour être parfait, précise-t-il, un rubis doit être de belle couleur uniforme et veloutée, vif partout, sans aucun défaut ni imperfection dans la texture.
A partir du 19ème siècle
Vers 1800, le rubis rejoint le saphir dans la famille des corindons. Les autres compagnons de l’antique escarboucle (spinelles et grenats) sont classés ailleurs.
En 1852, les anglais annexent une partie de la Birmanie comprenant le territoire de Pégu. Bien avant d’être inclus dans la Birmanie, le royaume indépendant de Pégu était connu pour ses rubis. L’Occident se prend alors à rêver d’abondance, de joyaux faciles à négocier. L’illusion ne dure pas car les tigres, les serpents et autres dangers de ces régions difficilement accessibles empêchent toutes exploitations intensives.
A partir de 1886, deux chimistes français travaillent ensemble à l’obtention du rubis synthétique. Edmond Frémy réussit d’abord à élaborer un rubis utilisable en horlogerie. Auguste Verneuil développe ensuite une méthode par fusion d’alumine en poudre dans la flamme d’un chalumeau oxhydrique. Le rouge s’obtient en ajoutant de l’oxyde de chrome. En 1904, le « procédé Verneuil » devient opérationnel suivi ensuite d’autres méthodes.
Vertus du Rubis en Lithothérapie
Jean de Renou, médecin des Rois Henri II, III et IV utilise la lithothérapie. Il indique dans son ouvrage pharmaceutique que “le rubis est grandement cordial (tonique) et qui plus est, résiste puissamment à toutes pourritures et venins”. Aujourd’hui, on attribue toujours aux élixirs de rubis des vertus revivifiantes et désinfectantes. Pierre de vie, il donne courage et loyauté. Il symbolise le bonheur et le feu ardent. On l’associe, en priorité, au 4ème chakra, le chakra du cœur.
Les bienfaits du Rubis contre les maux physiques
- Protège le cœur et le système circulatoire
- Stimule le fonctionnement des reins et des glandes surrénales
- Préserve des intoxications et des contagions
- Aide à faire baisser le taux de cholestérol
- Redonne tonus et vitalité
- Favorise la longévité
- Améliore l’acuité visuelle
- Soulage les tensions et les crampes, les règles douloureuses
- Traite les fièvres
- Favorise l’activité sexuelle
- Protège du mal de mer
Les bienfaits du Rubis sur le psychisme et le relationnel
- Redonne joie de vivre et enthousiasme
- Développe la confiance en soi et la persévérance
- Favorise la prospérité
- Régule l’hyper-activité
- Stimule la créativité
- Accroît toutes les passions
- Préserve de la jalousie et favorise la sagesse
- Renforce la volonté, le courage
- Éloigne les cauchemars et favorise les rêves positifs
Purification et rechargement
L’eau salée, distillée ou déminéralisée lui conviendra parfaitement. Vous pouvez également utiliser des méthodes plus douces telle que l’enfouissement ou la purification par l’encens. Pour recharger le rubis, placez-le au soleil pendant une demi-journée ou sur un amas de quartz ou d’améthyste.
Comments (6)
Comment connait-on la qualité d’un rubis ? Et sa valeur ?
Bonjoru Hays,
Cela dépend de plusieurs facteurs et très notamment de la couleur et de la pureté de la pierre. Après, l’évaluation exacte doit être menée par un expert sur la question, ce qui concerne plutôt les bijoutiers. Pour la lithothérapie, il n’est pas nécessaire d’avoir une pierre de grande valeur pour en retirer les bienfaits. On peut même facilement trouver des petits rubis très accessibles. Vous pouvez consulter notre boutique pour voir s’il y en a de disponibles, à cette adresse : https://www.lithotherapie.net/boutique/pierres-et-cristaux/rubis
Je voudrais une petite pierre de rubis pour mettre sur une chevaliere
Poubez vous me dire.les pierres qui conbiennent aux natifs .capricornes -cancer -poissons et gemraux..je n ai pas encore pu commander mes livres mais.j adore vos.messages parce que j aime beaucoup les.pierres et leurs vertus .merci.
Bonjour Aurore,
Il y a des pierres qu’on associe traditionnellement aux signes du zodiaques, mais je vous rassure : rien ne vous empêche d’utiliser les pierres de ces signes même si ce n’est pas le vôtre. :)
Merci pour toutes ces explications très intéressantes concernant l’historique des pierres… très heureuse de vous lire régulièrement… Francine CLAUSI
Je possède un rubis légué par ma grand mère. Monté sur une bague en or blanc. Un évaluateur a dit; je ne peux pas dire si c’est un vrai rubis. Il répond aux critères mais si c’est un vrai, il est trop pure et vaudrait trop cher. Ou puis je faire évaluer la pierre? Qui est le meilleur pour me donner l’heure juste?